La SAU modernise les infrastructures de l’hippodrome d’Uccle-Boitsfort
En complément de la restauration des principaux bâtiments historiques de l’ancien hippodrome, la Société d’Aménagement Urbain (SAU) a aussi entamé la modernisation des infrastructures du site (réseaux d’égouttage, d’adduction d’eau et d’énergies…). Des travaux nécessaires compte tenu de leur vétusté, liée à la longue histoire du champ de courses.
La Région de Bruxelles-Capitale a concédé à la Société d’Aménagement Urbain (SAU) un droit d’emphytéose de 99 ans sur l’hippodrome d’Uccle-Boitsfort, qui s’étend sur une superficie de 32,5 hectares et comprend 29 bâtiments. Avec comme missions, d’une part, d’assurer la restauration des principaux bâtiments historiques ; et, d’autre part, d’organiser le développement de ce site classé à la fois comme porte d’entrée de la Forêt de Soignes et comme espace vert récréatif à vocation familiale. Ceci dans le respect de son patrimoine naturel et architectural.
Dans ce cadre, la SAU a mené plusieurs campagnes de restauration des bâtiments historiques remarquables de l’ancien champ de courses, porte d’entrée de la Forêt de Soignes. Et elle a désigné une entreprise pour mener les travaux de modernisation des infrastructures de l’hippodrome (réseaux d’égouttage, d’adduction d’eau et d’énergies…). Une modernisation rendue nécessaire par leur vétusté, liée à la longue histoire du champ de courses. Ses origines remontent en effet à 1875 ; les deux tribunes ont été érigées en 1878 ; le bâtiment du pesage et les grandes écuries ont été bâtis vers 1900. Depuis cette époque, les infrastructures n’avaient fait l’objet d’aucune modernisation et étaient donc devenues obsolètes. Les travaux débutent [ont débuté] en janvier 2023.